Emma Calvé en-clavé-e


Appa-rut l'a-Muse Emma Calvé comme un en-chant-te-ment lyrique par le trou de la serr-(h)ure, à la façon d'un vertueux pouce indeXé sur un 8 au K du C non caduc et persistant d'un aRôme tout lèche-main y mène, à l'indice pensable classé X aux clefs toRRides de portées mu-si-cale-s à bipôle airs d'en-claves très Rauques and Rôles :

Calvé - Cabri-ères - Causses - Carmen - Decazeville, Musica, bien des mots intéressants pour la phonologie de RLC, très habi-tuée à la liaison trop piqu-ante Capricorne et Cancer en liesse et en lice, signes constituant la ligne de fendaison verticale du zodiaque aux solstices comme direct calibrée vers un érotisme à RLC.


L'égérie artistique "sonore" de Saunière, ha-bit-uée de RLC avec tout cet opportunisme phonétique de circonstance ou bien lui(t) en fut-il (!) rajouté ?
- Decazeville et De case vile ou vide : bon pour le carré de Mercure (8x8=64), pair, pas de case centrale.

- Cabrières et Cabri-ère(s) : chevreau (Capricorne) et ère (des Poissons), voir code P du chrisme.

- Causses et cozze (ital.)

- Carmen : Quart mène, un 1/4 d'An est sais-on.

- Calvé : Ca(s) levé - celui des Cancer et Capricorne ; K levé - celui de la Kundalini ; cas le V - celui du Graal ; cas LE vain-cras.

- Musica : Muse y cas,
Mi-us-ca.

Démettre Déméter de son statut chrono-logiquement réa-liste sur le champ investi de l'éternel féminin se-rait nier à quel point la notion de fécondité est tant reflétée agraire depuis des millénaires et que la femme est œuvre d'art effet mère...ou pas, selon le salon affable des destinées. Une clé de mys-tère fut trou-vée en l'aimable personne d'Emma Calvé qui SPica d'un ravagé lyrique au jeu de Saunière pour ce qu'il avait à exprimer, l'incluant comme un leitmotiv dans ses locaux, motivant son œuvre à l'em-porté(e) de façon marqu-ante, et pour cause (!).
La donna è mobile, Qual piuma al vento, Muta d'accento, E di pensiero ♪♪♫♫♪♪
Sempre un amabile, Leggiadro viso, In pianto o in riso, È mensognero ♪♪♫♫♪♪...


D'Air et de Terre VerSatiles souMIs au Feu Régulier continu mais contenu (voir page "LN 2-3 : Vu le vert cru").

Équation polaire : p² = b² + a²/cos 2θ. (p & b = Pommes Bleues ?)
La courbe du diable est la courbe donnée par l'équation ci-dessus, et relative à l'image ci-adroite =>.
("...j’ach-ève ce daemon de gardien à midi pommes bleues" ?)

Elle est formée de deux branches allant à l'infini et d'un huit qui n'apparaît que lorsque b > a (et que Règnent Les Bains - de F-our-mis) ?
Et bien évidemment elle évoque à la foi(s) le diable(u) d'entrée à RLC mais aussi le carré de Mer-cure autant que les sostices et les signes fixes du zodiaque (dont le 8° signe est celui du Scorpion - ce corps pion). Un astro-archéologue se doit d'être à l'aise avec la géométrie hyperbolique - dont spécimen ici à droite. CODE 8-cd : (partiel, § cd) Courbe du Diable - ou l'huît-re, et pas la moule ?.
(le code 8 recouvrant d'autres notions, lotions et motions similaires) En OFF(re) : la diagonale du ouf (ou de la foune ?) au jeu d'échecs, par Saint-Roch.
Eléphant, aiLée fou-ne, ailes de l'aigle et 2x4 pattes du Scorpion, ce corps pion :

- Petit rauque (!) : Le roi chevalier va honorer l'atour de la foune = métaphore de la sexualité (acte sexuel - désir, principe de plaisir)
- Grand rauque (!) : Le dauphin-roi (dos-fin ?) occupe la foune à l'atour de la reine = métaphore de la génitalité (acte d'accoucher - héritier, principe de réalité)
- La case "cheval" est Laissée Libre dans le second cas et justifie son saut en 2 + 1 ou 1 + 2 : 1 reine, 1 dauphin, 1 roi = 2 + 1 : "tandem fait mine un" reine + dauphin VS roi, ou 1 + 2 : reine VS filiation royale roi + dauphin.
L'Aigle et ses deux aiLes ayant laissé la place au Scorpion et ses deux fois quatre pattes pour un huit d'échiquier, autant que 2 x 4 = huître à 3 + 5 (V) à l'inéquivalve, la valve gauche bombée, concave, contenante, alors que la valve droite est plate (le "couvercle").
Mais Saunière dans son genre n'était-il pas une sorte de "Facteur Cheval" ?, Montazels et montage d'aiLes...
- C'est l'occasion aussi de se remémorer la Dame à la Licorne : le cheval qu'a pris corne, image disponible sur la page fresque.
- Une similitude petit et grand "rauques" est à établir avec petite et grand'voile du "Monaco" de Cocteau, comme de chaque côté du bas relief de la fresque à RLC - voir page Navig-ation & Vagin-ation.
- Certes question roques et rauques il conviendra aussi de ne pas oublier que Saint-Roch fait partie intégrante du statuaire à RLC avec une ressemblance (étrange ?) avec le Mat du tarot.

- Diagonale montante : en haut à droite la tour des ténèbres (Or-ange-raie à RLC), en bas à gauche la tour en lumière (Mag-dala à RLC).
- Diagonale descendante : Bel-V-d'ére, d'air et d'aire de Mèr(e), escalier à 2 x 11, façon crabe (cancer).

- à droite : inégalité des deux boucles d'analemme comme pour les rauques (2 ou 3 cases pour l'atour).
- à gauche : égalité de principe haut et bas pour les solstices à l'équateur sur une planète à l'axe incliné.




























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