Navig-ation & vaGin-ation

SP-Q-R : "EST OPUS OCCULTUM VERI SOPHI APERIRE TERRAM UT GERMINET SALUTEM PRO POPOLO" :

Botticelli : La naissance de Vénus...en vernal

Zéphir portant Aura et poussant Vénus sur le rivage de Chypre où l'attend l'Heure du Printemps (*?).

Si le féminin sacré est la valorisation d'un féminin "ça crée" criblé-ciblé par la divine case spiritualité et par le devis d'une devinette en Cat-i-mini à la Schrödinger en de-vise, alors tout "fait mine un" (fait m'ain ?) est faîte et cozze en figure de proue moulée sacralisée à RLC.

Et pour simple y fier c'est juste une question de Vaginal Power sans vice à écrouler ni écouler à l'écoute, VP comme VêPres et non pas VesPa-sienne, faîte de Lambda ou lame chevr-onnée tel l'auvent en fête à l'entrée de l'église à RLC (XVII tuiles "jaunes").

Le mot vêpres n'est ici pas innocent et renvoie aux Vespri Siciliani, à cette époque XIII°S où ce fut très tendu entre le Pape et l'Empereur, avec les croisades, le Royaume de Jérusalem, l'âcre chute "templière" de Saint-Jean-d'Acre (1291), les luttes d'influence en vue d'un titre dans le sud de l'Italie avec une intervention aragonaise, tout ce cocktail HiStorique (qui va mener à la par-en-thèse pontificale d'Avignon au XIV°s.) intéressait nécessairement Saunière, d'autant que le Royaume de Majorque et le Donjon d'Arques datent de cette époque et que la frontière établie par Saint-Louis en 1258 n'est pas très loin de RLC.

Si la femme est une œuvre d'art effet mèr-e autant que l'éphémère dard peut être infâme aussi, alors aux principes de plaisir et de réalité, où le P du chrisme détermine l'èRe : l'éternel prince si pâle en main fait mine un au sacré-ment pincé qu'enserre le crabe en marche de tra-vers, longeant le bel V d'air au pas de charge ou pas, de l'ombre à la lumière.
C'est une question d'appréciation réaliste, culturelle et humaine, voire humaniste que l'avisé Saunière avait très visé pour son ministère at home hard.
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CODE V : Graalesque de point Ver-nal et d'étraVe - Vega -


Mari mad de l'aine et marri mât de l'aine ?

Cette œuvre de Cocteau (à gauche) peut-être interprétée comme une simple marine, mais en réalité elle peut être perçue comme très proche de la fresque à RLC quand on la fait parler en toute cohérence avec ce qu'elle évoque, c'est aussi ça la poésie inhérente à RLC.
A l'avant du voilier un nuage de type phallocratique et à l'arrière un nuage évoquant un enfant. Le foc (feu) à l'avant et la grand'voile à l'arrière, et ce que "traîne" le voilier dans son sillage.

C'est ainsi qu'apparaît (à droite) la notion de Lyre, ce losange (los anges, voir l'os ange ?) ou du moins un quadrilatère, qui trouve sa "justification" sur le schéma rectangulaire (et diagonale) de la page des carrés structurels.

Le Monaco est un cocktail à base de bière, de limonade et de grenadine. On dit qu’il doit son nom à la couleur de ces ingrédients, le blanc de la limonade et le rouge de la grenadine rappelant le drapeau monégasque, inspiré d’un cocktail américain appelé « Snakebite » (morsure de serpent).

CODE 13 et 1-3 : Lune (sidéral) - Mars (case centrale) - (aiNe ?), XIII°siècle, 1-bâbord / 3-tribord...

- Le sinople est une couleur héraldique classée dans les émaux. Vert en représentation polychrome, il est symbolisé par des hachures à 45° partant du point dextre du chef (\\\) en représentation monochrome gravure, architecture, sceaux, etc.

- La couleur pourpre héraldique est un émail héraldique de couleur mal définie, pouvant aller, selon les spécialistes, de l'indigo à un gris violacé, en passant par le violet. Il est relativement peu usité. En représentation monochrome, il est symbolisé par des hachures en diagonales dans le sens du taillé.

- Etrave P-S, ici à droite en descendant et feux de navigation d'origine héraldique : Pourpre à bâbord et Sinople à tribord. Point vernal de PrintempS en bas : Mars (Bélier) à bâbord, Hi-ver à tribord (Cup : Capricorne, Verseau, Poissons), toujours les 1/4 et 3/4 conformément au carré de Saturne.

En 1393, Louis de France, duc d'Orléans (et frère unique du Roi Charles VI) créa l'Ordre du Porc-Épic. Celui-ci comprenait 25 chevaliers dont un grand maître, qui portaient en sautoir une médaille ornée d'un porc-épic. L'ordre disparut sous Louis XII au profit de l'ordre de Saint-Michel, mais ce roi de France décida de reprendre le porc-épic pour emblème. Il en décora ses armoiries et sa monnaie, avec la devise Cominus et eminus, pour rappeler que le porc-épic était prêt à se battre "de près et de loin". On pensait, en effet, que cet animal avait la faculté, non seulement de blesser ses ennemis avec ses piquants, mais aussi de les lancer à distance...

"Marie Madeleine" comprend 14 lettres en 5 + 9, deux nombres d'ordre respectivement des carrés de Mars et de la Lune, mais également nombre des stations du chemin de croix et moitié de 28, cycle féminin-lunaire et vogue la Graal-ère...

Le curé villageois (vit la joie ?) sur la fresque à droite peut faire penser à un cocktail monaco, mais aussi à un drapeau belge, lequel ressemble au drapeau allemand, avec deux couleurs inversées.
(à suivre...)

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