R'ichthus

R'ichthus, celui de la Joconde et de l'ère des Poissons,
avec au centre de toute pré-occupation le phénomène de précession des équinoxes :

Stonehenge fut probablement le plus grand site-observatoire-calculateur astronomi-logique de l'antiquité. En effet depuis la sédentarisation de l'humain, remontant officiellement à 13.000 ans au nord du croissant fertile (sud Anatolie), le principal souci pour la gestion d'une société agraire à optimiser était la mouvance de l'équinoxe de printemps sur la voûte céleste à raison de 1° d'arc tous les 72 ans avec perte des repères dans la transmission des données palpables.

Le concept du chrisme à partir du christianisme a pu permettre la gestion de ce phénomène par l'acceptation de la composition d'un décalage progressif gérable entre signes et constellations.
Le point vernal se situant à la fin de l'hiver, en fin du signe et constellation des Poissons initialement (équinoxe de printemps), tout autant que le socle de la croix devennait le lot du Capricorne (au solstice d'hiver et tropique éponyme).
Est-ce à dire que Stonehenge même fut un monument graalesque de l'essai d'une pareille maîtrise dans une approche de pré-christianisme qui n'aurait pas abouti, et de référent-ciel solsticial (été) ? C'est de l'ordre du possible car plausible sur carte du ciel, à considérer que la constellation du cygne en forme de croix (comme l'aigle ensuite) était à l'époque une référence "utilisable", mais cependant du côté solstice d'hiver.
(à suivre...)

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CODE R :

L'air d'une ère qui erre équiPée et qui P'èse son poids à l'uni-coRne


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