S(v)P Tao : Cygne et Aigle

Deux "enfants" derrière l'autel, chacun avec les bras en croix sous une voûte étoilée, tels Castor et Pollux.

Ou plutôt les Cygne et Aigle, deux constellations en forme de croix, tête-bêche, acCA-blés (!) et à CAbler droit debout ensemble façon constellation des Gémeaux ?

Gémeaux, Gemini, Gemme eau(x), et deux M pour Marri Mât de l'aine, lequel M est composé de deux 1 dont l'un en effet miroir de l'autre.

Et in arcadia eGG-0 : Gémeaux en 2 Gemini (jets minis ?) et 2 Gémeaux à partir d'un seul œuf ?

Cependant que les deux statues sont ici chapeautées par la voûte étoilée céleste et que cela mérite quelques explications à l'endroit où la voie lactée précisément se divise en deux : Le triangle d'éTé (comme les 4 T du palindrome TeneT) se compose (ci-dessus) des étoiles principales des constellations du Cygne, de l'Aigle et de la Lyre (respectivement Deneb, Altaïr et Vega, initiales DA-V comme invitant le V en I pour devenir DIA). Ce triangle n'est ni isocèle ni isiaque (ou pythagoricien) mais approchant un peu de l'un et l'autre et surtout du deuxième qu'il est facile d'obtenir en faisant glisser l'angle en Véga le long du reste de la Lyre jusqu'à ce qu'il devienne rectangle (l'angle). En toute inclusivité, c'est une géométrie variable où le V y mène virtuellement, au I : de DA-V à D-I-A - également que VegA est inclusif de "eg" (début de gémeaux), autant que V & A voisins forment un N inversé (VA)...qui appellerait le O de ego ? EG-O commence comme Egg (œuf en anglais, qu'il suggère de forme en troisième lettre).Isis aurait donc ainsi son triangle céleste glissant du V en I.
Noter l'aspect sexuel de l'ensemble (V féminin, A masculin eu égard aux items symboliques des éléments : V - eau et A - air, O & R = OR), avant d'aborder l'aspect génital à suivre (O de forme = œuf), autant qu'Hercule (à l'appui - sens magique) nous y invite à reculons dans le reclus élargi du serpentaire, voir plus bas la carte de la voûte céleste. - La porte est en dedans (Tréhorenteuc) - La porte est en deux dents - La portée en deux dans - La porte est en deux d'ans - L'apporté en deux d'ans - De l'origine commune et gémellaire à CAbler (!) du Cygne et et l'Aigle, ces deux constellations tête-bêche, chacune en forme de croix : CODE CA : Cygne et Aigle mais aussi Cancer et Capricorne -solstices et tropiques- également ContrAste (Noir et Blanc) - et lettre K
(§ 1, autres développements par ailleurs)


ET IN ARCADIA EG(O) de l'œuf cosmologique qui s'ingénie à se lyre en 6 solaire et 9 lunaire, de Yin et de Yang comme de Noir et de Blanc :

Deux Gémeaux pour une métaphore judéo-chrétienne...aussi !
Cette étonnante croix à double "mât" de l'église de Serres (proche RLC) est très représentative des constellations du Cygne et de l'Aigle, toutes deux en forme de croix et assimilable à la constellation des Gémeaux à laquelle ils sont chacun reliés par la voie lactée, c'est la référence au Serpentaire : blanc et noir en un seul oiseau échassier-rapace.
Tout ce concept date de l'An Mil avec Gerbert d'Aurillac, premier pape français sour le nom de Sylvestre II (noter le 2 précisément). Cette dualité représente à la fois le Yang et le Yin (blanc et noir aussi), le Masculin et le Féminin, le mortel et l'immortel (Castor et Pollux), mais aussi deux peuples et deux concepts d'astro-précession : Chrétiens et Juifs obligés de s'entendre vers l'An Mil pour éradiquer le feu de Saint-Antoine, cette terrible maladie de l'époque médiévale due à l'ergot de seigle et autres céréales. C'est ainsi que Saint-Antoine l'Abbaye (Is-ère) commença à être construite à cette époque (XI° s., celle également du grand schisme d'Orient) et est située en limite du Vercors, (vert corps ?, tout un programme à RLC). Deux statues Saint-Antoine à RLC : Saint-Antoine Ermite et Saint-Antoine de Padoue, cette dernière évoquant (étonnamment ?) le zodiaque égyptien de Denderah, comme il sera vu plus loin.



Quand la voûte céleste s'inscrit dans un contexte de rétrogradation nodale et de régression génitale façon Origine du Monde de Gustave Courbet :
(un concept de l'An Mil repris sur la façade de Saint-Génis-des-Fontaines) Là encore et en corps l'ombre du Chat de Schrödinger avec la voie lactée, qui partie des pieds des Gémeaux se retrouve en position d'alternative au Cygne et à l'Aigle : vers Ophiuchus ou vers Zodiaque (écliptique) : Sagittaire et Scorpion. Une Alternative sans possibilité immédiate de choix étant une Coexistence d'options (voir plus loin), confirmée par l'alliance fraternelle, gémellaire et sacrée des Gémeaux : Castor et Pollux.


CODE OHM : Hercule et Origine du Monde -1§- (ci-dessus et dessous, autres développements par ailleurs)
La formule sur la voûte céleste : Cygne et Aigle par Lyre = Tao par Hercule = Serpentaire, Origine du Monde en Mandorle, par Ophiuchus et Serpens au-dessus du Scorpion, voir le centre du linteau de Saint-Génis-des-Fontaines = deux "oiseaux" (Aigle et Cygne respectivement par Mars et Jupiter) à l'écartement de la Lyre, présentant le Serpentaire in utero justifiant leur origine commune gémellaire (tels des Poissons tête-bêche façon Tao ? avec mention Scorpion).

Statut d'Ere-recul (tenant de la main dans son DOs les pommes d'or du jardin des héspérides) :

CODE 11 : SerPentaire & Gémeaux (SerPentaire 11 lettres -comme Rênes-LeXTao- et avec Gémeaux, en désordre : PSG - équipé 11 aussi), PS par Petrus et Sophia - (et G pour Gironde voir ci-dessous, autres développements pour le Serpentaire par ailleurs)

Le serpentaire est en effet indissociable (indice sociable ?) des Gémeaux puisque c'est le 2 en 1 (21 est l'arcane du Monde au tarot). Il est l'œuf unique initial taoïste composé de blanc et de noir, de Yang et de Yin, ayant "produit" le Cygne et l'Aigle par la Lyre isiaque et case 33.
Ces mêmes 2 & 1 ou 1 & 2 ne sont pas sans rappeler le chat de Schrödinger (voir plus bas) et la marche du cavalier du jeu d'échecs, dont l'évocation se produit sur d'autres pages de ce blog.

Et dans le giron de l'hégémonie tour-noyante des Gémeaux :

Le phare de Cordouan date de la fin XVI°- début XVII° siècle et fut construit sur l'estuaire de la Gironde, lequel est notoirement évoqué en bas à gauche sur la dalle de Blanchefort, il fait suite à la tour du Prince Noir et l'estuaire est composé de l'alliance de la Garonne et de la Dordogne et d-égo-tte pour initiale la lettre G comme l'un des deux fleuves à la source aran'aise. La Dordogne a cependant aussi cette particularité géographique d'avoir une bonne partie de son cours inférieur au niveau du 45° parallèle, tandis que le Pô défère plus de terres encore à traverser de même latitude en Italie. DOrdogne & GaronnE... tel un DoGe de Venise, d'EGO en Art cadi, de guerre shunt(e) ?
DOrdogne, d'enluminure serait-elle aussi une allusion à la note DO qui em-portée par là foule à moitié dessus-dessous une sixième ligne où elle gît ronde en un IO allonGé de géo-graphique médiant, évoquant ainSi le signe (maternel) du Cancer constitué d'un 6 et d'un 9 allongés tête-bêche, autant que les 6 & 9 au vert-ical forment l'œuf cosmologique Tao-iste des Soleil-Lune unifiés par leur numéro d'ordre respectif : 6 & 9, comme sexe et œuf, ainsi que Saunière place ses stations de même numérotation respectivement à droite et à gauche sous la fresque, comme l'Abbé Gillard, voir plus loin. Se souvenir également des significations du mot "giron", et aussi de Saint-Girons, en pays Co(u)serans - et de fil blanc en aiguillage voir "ET IN ARCADIA EG(O)" du Guerchin.

Mais la Gironde présente aussi une particularité, que les deux premières lettres de ses deux affluents évoquent déjà : DiaG-onale, telle celle suggérée sur la dalle de Blanchefort entre les deux croix, comme une indication de Cap Creus à Cap Finistère où s'effectue une brochette (large) des îles côtières de l'Atlantique passant par Toulouse et Cordouan (à la satisfaction de Richelieu ?), diagonale maritime façon licorne d'hippocampe sur ses positions de rosace en Méditerranée, jusqu'à à la pointe en Atlantique, fête sur mesure pour Anne de Bretagne, deux fois reine de France et soustraite initialement à l'Empereur du Saint-Empire romain germanique, en ce XV° siècle des grandes découvertes et déconvenues. Serait-ce donc elle la Dame à la Licorne ?
Qui se rendait maître de la Bretagne, ce poste avancé stratégique de l'Occident, de l'Europe et surtout du pays de France vers Atlantique pourrait devenir maître du Nouveau Monde en cette fin du XV° siècle, la Licorne représentant le transfert vers l'Ouest des perspectives de l'ancienne Mare Nostrum en post-prise de Constantinople, l'enjeu était donc de taille.

Les mystérieux tableaux "Gasc-Poussin" relateraient-ils quelque chose de Cordouan et la Gironde par l'énigmatique NP d'un tableau, comme Nicolas Poussin, mais aussi initiales de Prince Noir ?

Et pour aller encore plus l'oint par dia-gon-ale, d'évoquer les Dogons du Mali et leurs très étonnantes connaissances astrologiques, où l'on retrouve à l'évocation de leur nom un élément caché-cloché du tableau de Poussin V2, ainsi que dans leurs initiales ce mystérieux D.M. de Shugborough Hall.
HONI SOIT QUI MAL Y PENSE ?
(qu'à Brosser l'"i" en deux on obtiendrait un "y" ?) D'M rôde la table du Roi Arthur et la Bretagne à nouveau avec Trehorenteuc et l'Abbé Gillard, du même accabit accablé que son prédécesseur Saunière à soufrer leur église respective sous l'Ager publicus au plus éloigné d'un prude et prudent Vatican. Et une station N'œuf qui vau-dra-p à H.Gillard une omelette à Tréhorenteuc...

Enfin, l'instant phonologique s'impose particulièrement bien ici : "Es-tu aire ou ère de là Gire onde ou Gît ronde ?", une allusion claire à l'ayamsana, et d'un opportunisme phonétique aidant et bien approprié en réponse : "Cor-Do-Uan" pour corps d'eau ou cordeau huant (huant comme un chat ou un chas), contenant ut et do, le UT musical sera remplacé par DO dès le XVI° siècle. Ce qui pourrait ramener au moins au petit rauque ? Qu'un chat-huant (dans un château ou pas) ra-mènerait aussi et encore à l'ayanamsa, autant qu'un hi-bou des sept pluriels en X pour deux ronds zodiacaux en mode cohabitation, pour laquelle un autre calembour s'imposerait : Cor-d'O-V-an, graalesque de l'an-née solaire commune aux deux concepts, outre que l'on y retrouve les O et U (ou V) de Urbi et Orbi comme les 2 L en 11 gémellaire et d'interCAlation au centre de PolluX, entre P et X du chrisme et ou de GA-DO-U-E aux fleuves d'enluminures éponymes ou de Padoue, effluve homonyme ?.

C'est aussi l'occasion avec ces deux vitraux du phare de Cordouan de se remémorer ceux de la porte d'entrée de la Villa Bethania à RLC, ainsi que de bien repérer la diagonale (verte) portée par Sophia (qui renvoie à celle d'un 18+38 = 56 pour 1/8 et 3/8 mis en opposition axiale de biais et symétrique de 65, voir page carrés structurels), Sophia et le vert = verso, verseau ? Sophia = OS fia(t) - Ophiuchus & Serpens ?, outre que SOphia et PEtrus commencent -au hasard ?- pour leurs deux premières lettres comme le cryptogamme SOt-PEcheur, et sans oublier de prêter attention au sigle de forme identique en MédailloN au-dessus de chaque personnage de la cha-pelle du phare, et que l'on retrouvera de façon graalesque dans l'église de Saunière puisque ce sigle relie les statues entre elles, formant un losange au centre (voir aussi plus l'oint) :


Image de gauche : "salière" en croissant de lune de Jean de Berry (janvier) avec la grande ourse d'un côté et un cygne de l'autre, comme sur la carte à droite, une main entre les deux, et la constellation d'Hercule en pied de salière (sale hier ?), un artéfact de table. Non-innocent ici pour le phénomène de précession indiqué sur le calendrier (Verseau dès le 11 janvier - avant 1582), remarquer également les deux chiens (tels Sirius et Procyon) avec chacun son "cercle".

Des particularités de la Constellation du Cygne (Cygnus) - tel Pollux par rapport à Castor (case tord ?) :

- 1°) C'est en Deneb (queue du Cygne) que la voie lactée se divise en deux.
- 2°) Le Cygne touche du bout de son aile droite (en haut sur l'image) la partie de la voie lactée qui va ensuite vers l'Aigle, mais surtout son aile gauche occupe bien l'autre partie et le bout de l'aile gauche est arrimé au cercle de précession, ce qui lui donne une valorisation d'éternité directe, palpable, évidente, dans l'année platonicienne (il serait donc bien placé pour une référence à Pollux, immortel).
- 3°) Il se situe au plus près de la Lyre (et accessoirement d'Hercule) Lyre qui est représentative du sexe féminin (Cf. de la case 25 à la case 33 - diff. 8, développements à venir) .
- 4°) En fonction de ce qui précède le cou du cygne aurait-il une vocation pérenne pénienne ou osiriaque ? (tête du Cygne : Albiréo)
- 5°) Se remémorer le statuaire du diable et des anges à l'entrée de l'église de RLC, construit selon Atlas supportant le monde, façon Hercule (constellation) supportant le cercle de précession (ici à droite en biais) où est "accrochée" la constellation du cygne. Ce diable de l'entrée avec des ailes d'aigle ?
- 6°) Pollux dans le rôle du Cygne et Castor (case tort ou tord) dans le rôle de l'Aigle. Le cercle de précession (plus petit) couronné au zénith dans le rôle de l'εsprit et celui de l'écliptique dans le rôle de la Matière. L'une des deux branches d'un Y céleste deviendrait plus consistante que l'autre à l'essence-ciel. Le décalage entre l'équateur céleste (lié au cercle de précession - étoile polaire) et l'écliptique forment un croissant de Lune (actuellement et pour longtemps au-dessus du Scorpion, voir carte plus haut) et repris dans le bas du bas-relief de la fresque de Saunière (faille n'aure-périnéenne !).

Rappel : cette notion de précession (nodale ou/et des équinoxes) est fondamentale (aussi) à RLC.
PSiiTTT : Si ce n'avait pas été le cas ça fait longtemps que j'aurais abandonné le sujet de RLC, étant avant tout un amataur d'astro-antropologie, comme Saunière avec l'évocation du zodiaque de Denderah sur la statu(r)e de Saint-Antoine de Padoue.




"...après un long sommeil, les mêmes hypothèses ressuscitent, sans doute nous reviennent-elles avec des vêtements neufs et plus riches mais le fond reste le même et le masque nou-veau dont elles s'affublent ne saurait tromper l'homme de science..."
Abbé Théophile Moreux
Directeur de l'Observatoire de Bourges
Page 10, du livre "L'alchimie moderne"





Ne loupez pas la suite ci-dessous, ça se corse à l'empile de boni face s'Y hôte !
Attention ça glisse à poing non mais sans être absurde à absoudre :
ET IN ARCADIA EG(O)-S'Y est l'Art de Vouivre à deuX en super-position cantique, intrication, état unique, dualités, ambiguïtés et paradoxes :




















Mais que vient Y faire le Chat de Schrödinger, à RLC...qui cependant contient la syllabe "chat" ?
Dans le do-ut-e à BS tient toi(t) : la voie lactée se divise en deux en Deneb, un peu comme la pellicule ci-dessus adroite.
(PSiittt : Doubs = département 25, un nombre castelrennais par Mars et Vénus)

Code Y : Cygne - Yin & Y,ang - ayanamsa - et par Saint- CyP-rien sur le Blason des Hautpoul : Reine-La-Chatte haute (de Schrödinger : CAfé ou Thé, qu'ambre est sis au schisme), qui SPica au jeu de la Mourre et du Ass hard ou de l'Ânesse Cécité et pour ça : el Mus(s)eo preferi-do debe ser à RLC.

Un Y de bas en haut est le sauf-conduit ouvrant en montant verticalement deux possibilités conjointes, concomitantes, superposées, coexistantes (Schrödinger, voie lactée, ou autres alternatives), et un Y de haut en bas révèle la possibilité d'être 2 au départ à en devenir 1 ensuite (tout en conservant la branche annexée), comme à faux rets de brosser l'"i" en deux sur la marche du cavalier d'échecs.
Pour autant et par Mars et Vénus l'union de deux branches -telles 1/4 et 3/4 ci-contre à gauche ou encore sur le carré de Saturne- en produit une seule en descendant (!).

La lettre de l'alphabet phénicien et hébreu "Ayin" révélatrice du suffixe "inya" a produit le pronom indéfini "On", par le biais d'O c'est IA (consonnance Osséja), deux lettres liées par un Y.

Ainsi l'union de Urbi et Orbi aurait pu être représentée par un Y, peut-être trop limitatif pour l'orbe, et sera donc plus lourde avec un X : U de Urbi (U comme dans Bug-ara-ch) est une lettre à forme ou-verte par le dessus, tel le contraire d'un Urbi confiné à l'intra-muros, à libérer l'envol du O de Orbi en hégémonie d'occuper tout l'espace extra-muros, d'où le X ascète pl-uriel(s) à remplacer le S topique et tropiquant (voir page PeCh BuGaRaCH), avec AEI-OU-Y au blason des Haupoul, fédérant des coqs (six), plus que composé de coques d'œufs ou autre tajine couronné à n'euf façon nacelle de montgolfière composée d'un grand O surmontant un U genre nacelle de Grande Ourse sous ballon de cercle de précession (ci-dessus) ou clé simple pour trou de serrure complexe (voir page Emma Calvé) qui baigne noir. Et le B'ain D'oux tournait D'ain B'oux en eau de B'oux D'ain (d'après Boudet ? à La Fontaine du Doubs ?), et "Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus"...

Qu'il faille à cet instant évoquer la statue de Sainte Germaine de Pibrac à RLC avec les deux mou-tons à ses pieds. (Germe aine de pi braque ?, du P'ain d'E-ros ?)

Et surtout cette lapalissade convenant bien au Y comme à l'X et semblant figurer sur la palissade du socle où il faux lyre "ET IN ARCADIA EGO" de Poussin V2, concernant le 1 :
🌟 1 c'est à la foi(s) le double (doux bleu ?) de la moitié mais aussi la moitié de 2. 🌟
Quand pousse 1 du pouce et de l'index au so-cle, à l'unité de l'egg et de legs, autant que ayanamsa (en 8 lettres) contient ayam et sana (I am sana ou as an ?), et 4 "a" - éléments.

Et comme di-rait Aline d'une promenade à jambages sans ambages dans un torrent, et sans s'éGosiller : "pigeons bien nos pronoms, surtout quand ils sont in-défi-ni(d)s", sauf qu'"à vaincre sans péril, on tri-om-phe sans gloire" ? (Le Cid-re des pommes bleues...démet-il l'aine ? Ou démet terre ?).

Toute ressemblance de l'image de droite avec la fresque de Saunière en sa partie droite serait forte-huit ?
- La Chatte de Schrödynger : C'est une extrapolation au cas levé a façon cantyque sexuel et génital du concept virtuel et vertueux du Chat de Schrödinger, expérience imaginaire quantique. Ce concept est particulièrement bien adapté à RLC pour expliciter l'œuvre de Saunière, un curé pragmatique chargé d'une mission morale et sociale du temps où la contraception n'existait pas, pas plus que d'autres "conforts" sur le plan sexuel et donc génital. Il devait gérer les élans de ses ouailles dans les 2 principes : de plaisir (partie droite de la fresque et petit roque ou rauque, par Saint-Roch) et de réalité (partie gauche de la fresque et grand roque ou rauque, par Saint-Roch aussi), le premier pouvant générer le second dans une conséquence souhaitée ou non (et dans le doute à BS tient toit ?).
Et dit plus prosaïquement la coexistence des deux états (fécondation / non-fécondation) dans une situation plus ou moins anxiogène constiste ici en l'ignorance momentanée du résultat souhaité ou de la sentence non-souhaitée pendant un temps donné, avec :
- Dans le rôle de la pièce fermée : LE vaGin - Dans le rôle du chat : l'ovule - Dans le rôle de l'atome : le spermatozoïde - Non-fécondation éventuelle et "mort" programmée de l'ovule non fécondée, Fécondation éventuelle aussi et l'ovule y mène continuité de vie, certes elle s'en trouve tacitement modifiée puisque devenant ainsi œuf (si proche de la station IX -n'œuf- au fond, image ci-dessus adroite).
- C'est donc l'ovule qui est à la fois morte et vivante pendant un temps donné, telle le chat de l'expérience en superposition quantique : c'est l'instance du devin en attente du divin après le divan élitiste et ça crée ou pas dans le contexte du feminin sacré.
- De même, une nouvelle extrapolation est envisageable à propos d'une ovule fécondée avec la coexistence de deux états : l'œuf est à la fois fille et garçon tant que le sexe n'est pas encore connu.
Est-ce là la signification principale de l'arcane XII du Pendu du tarot de Mars-seille avec son n'ombre XII qui propose le X du croisement suivi de I+I = d'eux possibilités quant à la suite, d'où le suspens du suspendu -par le talon ou tendon d'Achille ?- entre deux troncs ? Les deux tirets inclus dans le nom même de Rennes-le-Château ne relèvent-ils pas de la même perspicace et chatoyante "perspective" ?
- La Chatte de Schrödynger ci-dessus est l'expérience vécue par tous les couples et surtout les femmes en général avec l'évaluation évolutive de l'ovulation dans leur cycle féminin-lunaire, et même ensuite dans une deuxième phase éventuelle, celle de la grossesse (le deuxième effet kiss cool ? après le premier effet qui secoue le destin ?).
Fécondation (cygne -café - "cafetière" Ophiuchus-Serpens : cas fait) ou non-fécondation (aigle - thé - "théière" serpentaire-sagittaire : c'était hier).
CAfé et Thé caftés pour CAféiné et déCA aujourd'hui(t) si vendredi jour de Vénus, après les moules et les huît-res de Ma-rennes LeXTao ? :

Le schéma à la Schrödinger était déjà proposé en place sur la voûte céleste depuis des millénaires par la voie lactée interprétée comme telle :

Comme déjà évoqué plus haut : la voie lactée partant du pieds des Gémeaux (Castor et Pollux) au bout de la diagonale d'Orion et en bout de Licorne, se divise en deux à partir de Deneb : vers l'Aigle pour retourner au zodiaque (en Serpentaire-Sagittaire "bas ou périphérique-écliptique) ou vers le Cygne et l'intérieur du zodiaque : le Serpentaire haut - Ophiuchus-Serpens (Ophiuchus et Serpens). Voir sur cette page au-dessus du Code OHM la carte de la voûte céleste. Le serpentaire a deux casquettes : échassier et rapace, il est similaire au chat de Schrödinger dans sa coexistence cy-gne & aigle, blanc et noir, option état unique ultérieur gémellaire cygne et aigle à venir sur la voûte céleste.

L'abbé Saunière a transposé ces données ancestrales dans son église en valorisant le féminin sacré d'une façon technique et représentative du "ça crée"...ou ça crée pas au trépas et autre épate. En fait il s'agissait aussi et surtout pour lui et son ministère de gérer ses ouailles, leur famille...et la société de l'époque. Ainsi dans ses sermons depuis la chaire pouvait-il bien parler de la chair avec des supports visuels bien inspirés à être inspirant pour lui sur place et in situ d'enchères moralisantes sans écarter l'épate de l'amour charnel, en corrélation avec ce-lui(t) divin. Ceci au travers des nombreuses codifications utilisées qui fusent dans les lieux, fussent-elles probablement stimulantes pour lui autant que le dé-cor mis en place, sourcé des acquis de l'église romaine dans son évolution, tout en jouant de métaphores pertinentes à exprimer d'autres éléments reprenant les mêmes schémas abscons très bien codifiés. L'ensemble relevant d'un opportunisme de circonstance aux amalgames magdaléniens mais tout à fait pertinent qui a induit la construction de son œuvre "Rênes-LeXTao" dans un bien topographique Rennes-le-Château, à en tomber raide de l'antique Rhédae, où rôde le red de la cartouche BS, comme Blanque et Salses, Bérenger Saunière ou encore plus léger -le geai- or logés aux extrêmes : Bain de fourmiS - où le B ressemblerait étrange-ment à un 8, lui-même inclusif d'un S (ressemblant à un 5 ?). Le P de PS du SerPentaire serait-il PlomBé au B hissant un goal M en plan B syntaxique, qui lui-même serait relié de prononciation au V espagnol, là où le tilde est encore de mise surtout que VS est en hexagone d'USage au scrabble et à cabler sur la piste du sigle du serpentaire plus que de s'user sur celle paumée des pommes bleues à recevoir un éventuel rayon de soleil d'hi-ver en licorne de brume face à l'amer et léonin Régulus.
L'azul "i" en allumette et amulette à l'œil, s'y-métr'i-e en case 25 de Vénus à l'Azul Eros, et c'est lapis qui shunte, comme l'ass y gale pendant tous les T, et le cartouche BS de ressembler au nombre 25 ? Déjà le B (comme dans Bélier et Balance) est la 2° lettre, et quant à la forme en 5 (V romain) de la Seconde...! Encore que le B de Bélier ou Balance peut s'écrire en 13 d'enluminure qui à deux produit 26, nombre de lettres de notre alphabet.


CODE OS8XE3 : LE sCHème à clé modulée Astro-Tao - Pour Rênes le X-Tao c'est ici à tasser le marc de café dégoté serré sans se lasser à le déguster :

Quand le Lion de NeMée envi-sage le Taureau d'éCrêtant ascètes les PléiadeS et réci-pro-que-ment, alors là Mars seille aise à navig-uer de vœu lourd sur du Bélier en vernal de PrintempS pointu à l'étrave, quand bien même la Vierge SPica au jeu des blés murs à l'éTé der-nier d'une belote décoincée où l'arc a dicté en face d'étroit d'hiver une largeSse à son écartement hyperbolique au solstice singeant du X à gérer le "j'hérisse" en "j'érige" dirigé-digéré à s'en Démettre air(e) de ceinte hure épi-curienne desserrée en Port épique de chrisme inspiré d'un gerris de biomimétisme à projection gnomonique sol-sticiale ass-ortie d'analemme.
Car bien avant la Renaissance Italienne, c'est initié de précession basique de sainte thèse que Sylvestre II célèbra des cartes célestes en conclusion, relatées sur une façade d'idées où Cinq Gerris défont aiNe aux ides de Mars à l'équinoxe en éclipse pour que le Scorpion -ce corps pion jaunasse ?- remplace l'Aigle ayant (diable-u) achevé son vol en l'An Mil, ou plus en sCène à Milan - nom kiffé aussi référence à un aigle comme le Prieuré de Serrabona fait allégeance de tribune au SerPentaire adoubé par le Cygne et l'Aigle comme label de cas d'X.
Les zodiaques carré-ment pour la plu-par-t insignes d'octogone aux diagonales en barre ont 25 l'aire et l'ère par Mars et Vénus en-vers Mercure à 8 clos de fins (solstices) et de moyens (équinoxes). Et ça tord noble éPée d'orbe où robe erre le Pieu en cloche équivaut vair de gris qui L'aida aux biAis deVenus cas levé d'un seul tenant, qu'à diviser à l'éPée un T de croix Tau en deux on obtiendrait d'in-verse deux L pour une cavalerie d'au-rochs sur un échiquier (par exemple !).

La projection gnomonique diurne aux solstices, palpable en référence X comme celle de la Précession reprise en X du chrisme, est différente et complémentaire de la perception à heure fixe par oculus ou gnomon déterminant cadran analématique au sol ou méridienne, notions évoquées par le sac sur la fresque de Saunière ou la Cène de Léonard de Vinci, approchant d'un 8 aux deux ronds égaux seulement en concept équatorial (Signe de la Balance). Ce même 8 à l'analemme est aussi à l'horizontale le lemniscate. Il est évident que ce symbole de l'infini est bien placé pour devenir aussi celui du dispositif de la continuité de la vie -biomimétisme sexuel, essentiellement féminin, sacré et du "ça crée" hâtif- repris par Saunière, et que l'on retouvera plus loin sur cette page (Chambord) et sur d'autres pages de ce blog.

Pour autant si le X en sa forme évoque à la foi(s) le 8, le sablier et le lemniscate, et qu'à l'11 en fans de l'appât trié sur le volet un tel croisement permet de passer du gémellaire céleste ou du fraternel Isis & Osiris au stade sexué éther-haut d'un Soleil-Lune Jour-Nuit sur le tard, le tas et le Tao à l'œuf cosmologique (décrit plus haut sur cette page mais au tracé constructif initial ci-dessous à droite), alors on retrouvera cet X em-porté aux clefs pontificales, comme celles du Pape Léon XIII apposées au-dessus de l'entrée de l'église de Saunière, et quand s'anime de graffiti un avenant élixir sucré-salé illuminant pour la suite l'intérieur élimé de l'église de RLC que beaucoup de chercheurs allumés ont par ignorance éliminé d'un trait d'entrée :
L'appât rôle est d'art gens, mais le si lancé d'or. Ainsi peut-on du pied en cloche battant point vernal en bas repérer sur les armoiries en X du Vatican : la clef de l'être élevé d'OR (axe Lion - Verseau) et celle de l'avoir situé d'Argent (axe Scorpion - Taureau) où l'esprit et le corps de sommeil vont de ver-meil en mer-veille.
La tiare pontificale est affublée au centre d'un calendrier luni-solaire, nuancé par les deux axes lunaires influant et perturbant la roue zodiacale comme celle du poids vrai d'un paOn d'or : Nodal et Apogée-Périgée, eux aussi pos-sibles gémellaires, ainsi que suggéré à Saint-Génis-des-Fontaines à droite sur le linteau avec un 101 pur de lune de sang.
L'Hiver d'Hélène en bas à gauche et le PrintempS de Pollux en bas à droite, comme plus haut SoPHia et PetruS à Cordouan et à 3 contre 1 de parité sur le carré de Saturne. Deux saisons kiss rond à développer en page LN 2-3.

Certainement ici à droite le schéma le plus important de ce blog car il résume tout et en constitue même la base. C'est une représentation du serpentaire par un 8 initial cadré dans un rond, incluant les E et S des principes de genre et de nombre (genoux?) et évoquant le passage d'une pertinence de relation d'opposition différentielle tropique à une harmonie conflictuelle de synthèse dans cette "rivalité" nord-sud des solstices par dominance de durée du jour ou de la nuit, avec évalutation tacite des progressions respectives pour passer de l'un à l'autre par l'alternance des croissances.
Ce qu'opère idoine le sigle du Tao avec les 6 & 9 tout en contraste grisé à ne pas avaliser, découle œuvre des ténèbres à la lumière comme de la serre (tour noire) à la tour Magdala (tour blanche), passant par le bel V d'air sur l'échiquier parqué à RLC, à célébrer culturellement les fécondation et création telles qu'existant déjà au naturel par une volonté à qualifier de divine dans le contexte de RLC. Outre que l'Ené-ide ne saurait être hideuse en vigie autant que Virgile est différent de Virgin.

Ce schéma -ci-dessus à droite en image animée- où même l'équateur et une planisphère au quart de tour seraient présents dans la Médiévale conquête du Nou-veau Monde (N-v-M) explique la disposition graalesque du statuaire dans l'église de Saunière, ainsi que le monogramme pour Marie-Madeleine montré plus haut (Cassiopée en M et W et Case-IO-P en losange). Cependant qu'à l'appliquer à un zodiaque ce serait carré en haut et quintile (vénusien) en bas (4 & 5) de parallèles.
En fait les ε(Epsilon) et 3 forment à l'horizontale deux M ou Σ (sigma) inverses à imbriquer ("deux fois retourna"), à se rappeler que Epsilon est l'anagramme de Sinople, terme pictural arasant plus qu'haras-sant de variants auquel le peintre Poussin s'abonne et s'adonne, poussyf et d'art d'âne aiLes en voi(e) of-f à la PégaSe ? -voir page...eg(O).

- Ci-contre à gauche la gémellité du Carré de Mars (Mars est biennal) : 25 cases pour les chiffres et autant pour les lettres ("X-XV FOIS L'E GO-UT-A", également 25 : case centrale du carré de Vénus et centre de symétr-ie), losange d'impairs à gauche et couleurs sans henné à droite, mais ENE (aine) biaisé de barre du N avec 2 E, voire 2 Σ (sigma) ou 2 M au quart de tour. Mars initiale M (M-Arie, M(ars) par le Bélier, Stèle de Blanchefort), comme Mercure, et Marie-Madeleine avec 2 M, artéfact mentionné sur son bas relief à RLC =>.
- Madeleine, anagramme phonétique : Medée l'aine, May- Day, Jason, anagramme Jonas (et la-bas l'aine), le mythe en lien et celui de la Toison d'Or.
D'autres calembours pour Marie-Madeleine, et en conformité avec son bas-relief, seront explicités sur d'autres pages, avec Marie Mad de l'Aine ou/et Marri Mât de l'Aine, face au Y présenté devant elle.
- Une chouette réflexion gra-tuite ♪♪♫♫♪♪ chantante et chatoyante qui boue c'est ici :

Etait-il vraiment nécessaire d'introduire le Chat de Schrödinger là où une simple pièce de monnaie aurait suffi pour justifier de la coexistence des deux états par pile et face, que d'aucuns auraient pu pousser des cris d'Orfraie sur ce décrié d'or frais ? Certes, mais le chat de l'expérience est mieux adapté à défaut d'étre adopté : il permet d'élaborer un cadre donné et des éléments concrets de mise en scèNe, de plus le mot Schrödinger contient (pêle-mêle et non-exhaustif) S et E (voir ci-dessus), mais aussi O & R, O & D, EGO, les trémas du Ö, le pronom indéfini ON, le H hermétique de Hercule comme de Hermès, le C du croissant de lune, le ER de ère, sans oublier le y en option rajouté à la place du i dans "La Chatte de Schrödynger". Tout ceci est inclus rien que dans l'orthographe et ça fait déjà beaucoup, et en plus du chat phonétique et incitatif de la syllabe incluse dans Rennes-le-Château en physique classique contre Rênes-LeXTao à la cote 65 façon physique quantique, d'ajouter ce qui suit de scriptural en sculptural indice pensable, surtout si les temps pliés sont par minou deVenus challenge (chat l'ange) :


En CAT y mini : CAT = CAfé ou Thé, CAT = CAse Tort ou Tord, CAT = Cygne, Aigle et Tao, et aussi lemniscate = le M nie ce CATe ou l'M nid se CATe ? Sans oublier Sainte-CATherine (cote 25/11) et son CHApeau de sinople et de gaude (!), et parce que chat peut aussi se prononcer chas et que "échec et mat" vient de "shah mat", de plus Saunière souffle d'un acCAblé piquant sur la fresque en plaçant ce chapiteau corinthien (corps-un-tient) à la biaise (avec deux "i") en diagonale d'un insigne 45° ou 50/50 d'ara-gon-aiS (voire 35-65 ?), et ter-mine son chemin de croix en XIV d'un chas boosté au(x) BooteS, outre qu'un chat Angora en cire d'Ancyre serait d'Ankh-ara tout requis de cApital(e), alors les cinq doigts de la main n'y suffiront pas comme au fameux pentagramme de Vénus, l'édit des nantis en gros plan et le must cadet d'art cadi-cadeau-caprin de chèvre et MèNe sur LiT de caPrice à corne voilée de chrisme en choiX abaissé d'ère non plus, tropique et trop piquant à sidérer Jean de Berry en festivité de Janvier à lape roch(e) d'épi fanny aux heures d'enluminures, telle Mona Lisa à la chandeleur revenant des spores d'hi-ver à La Molina et allant planter des ma(g)nolias à Sain(t)-Malo pour l'art out du Rome, d'où le grand et mercuriel chambardement au Château de Chat-amb-or datant de la Renaissance :

A Chambord l'escalier double hélicoïdal et héli-coïtal adoubé à la virtualité qu'il entoure est une représentation sexuée alchimique de la possibilité d'alliance du masculin et du féminin dans le puits central (vaginal) qui ceint l'idée du treizième signe absent du cercle zodiacal (le serpentaire) et occupant précisément l'intérieur de celui-ci, comprenant lui-même le yin et le yang, ces deux composants de l'œuf cosmologique. Lequel est en connexion céleste en haut du donjon (croix spatiale), et perceptible de logique à chaque "lyra" (constellation, mais si !) tout au long des deux escaliers, l'ensemble se présente tel le Caducée de Mer-cure, en effet est sous jacente la notion de mère (comme de mer, voir autres pages).
La 33° case étant d'ailleurs composé de deux chiffres "Gémeaux" (voir Code 33 G) dans une diagonale qui s'é-vert-ue à dis-tendre le carré de Mercure vers un rectangle comme au Verso d'un recto à l'éros d'un V.
Masculin et féminin représentent également le zodiaque tropique et le zodiaque sidéral, associés d'un paradoxe comparable à celui de Schrödinger où la coexistence des deux états zodiacaux ne laisse pas le choix d'un état unique par la même appellation des signes et des constellations, un choix temporel cependant évoqué par la date du jour (tropique), mais relativisé par l'ayanamsa, cette différence entre les deux états zodiacaux impliquant donc leur reconnaissance respective dont elle confirme l'existence par un écart avéré et grandissant.

Le Code 11 trouve donc ici toute sa place et introduit même le M comme étant deux "1" qui se font face - le M de Cha-M-bord ?
Et le Code CA aussi, comme dans ChAmbord avec un H hermétique entre, ainsi celui d'Hercule ?

Saunière y trouve son compte à Chambord, en ayant des contatcs avec la comtesse éponyme en off, et surtout en installant dans son église deux statues au nom de Saint-Antoine :
- Ermite, Er-mi-te, ère mite, à relativiser l'ère des poissons - mitée et d'arriver bientôt au bout, après avoir exploité le T de Tenet vers l'An Mil - et qu'un mi-T produise deux "L" (chevalier d'échecs- et zodiaque des signes pour référence.
- de Padoue (Pa DO-VA) : le chemin retrouvé du zodiaque de Denderah, avec les constellations pour référence.
C'est également que chaque Saint-Antoine va représenter un peuple, suivant l'aspect tropique ou sidéral du zodiaque, et en fonction de l'histoire de l'astro-nomie-logie antique, à laquelle pour être assez complet (par le Lion de Némée) il faudrait d'ailleurs adjoindre les douze travaux d'Hercule :
Saint Antoine Ermite (Signes) est du côté masculin avec Joseph derrière l'autel, et Saint Antoine de Padoue (Constellations) est du côté féminin. Pa = Périgée/apogée et œuf, DO notion de partage et de fécondation, V et E : graalesque et accord "e" au féminin, ils forment également une métaphore respectivement pour peuple chrétien et peuple juif. A remarquer que le S de Signes (et du pluriel) est assemblage des deux solstices et donc tropiques de référence (voir schéma gif animé un peu plus haut à droite :D'un 8 à Ophiuchus et Serpens ) que le C des Constell-a-tions évoque un Croissant de Lune, astre typiquement lié au féminin, toujours l'inclusivité (avec fluidité et transversalité).
Peuple chrétien et peuple juif associés comme 1 et 1 font 11, un nombre qui les représente mais qui intrinsèquement justifie aussi de leur accord sur l'intercalation (365 - 354 = 11), à considérer que l'ayanamsa est l'intercalaire. Il y eu autrefois dans le cours du Tarot de Marseille une inversion entre la Force et la Justice, c'est à dire entre le 11 et le 8. (à suivre)



Réponse à propos du Cygne à Trebha Cooper : Ce qui est "excitant" et surtout existant c'est l'importance de la Constellation du Cygne en astrologie depuis des lustres et à RLC en particulier, en effet : 1°) le bout de son aile gauche est partie prenante dans le cercle de précession des étoiles polaires successives, 2°) la voie lactée se divise en deux en DeneB pour exprimer l'alternative de la fresque de Saunière : partie droite et/ou partie gauche, étoile DeneB qui contient N au centre et rappelle TeneT et son palindrome, 3°) cette constellation est en forme de croix, comme celle de l'aigle avec laquelle elle est tête-bêche, 4°) le D de Deneb ouvre le D de DiAgonale, le A de Altaïr (bec de l'Aigle) pour la troisième lettre avec en fait en 2° position : 1 "i" pour 2 comme deux options phalliques reliées telles la constellation des Poissons en un V de Véga (de la Lyre). Toujours le triangle d'éTé.





Texte ci-dessous à revoir et à affiner :

Deux "L", deux roques, une voile avant ou foc (feu) et une grande voile arrière autout d'un mât en navigation, comme quoi l'expérience imaginaire et virtuelle de Schrödinger est aussi une métaphore sexuelle et dont . L'acte sexuel n'étant pas systématiquement un acte de création, il existe aussi là une ambiguté : enceinte ou pas ? La réponse se faisant ultérieurement quand de fait et droit, c'est le même schéma. Aigle : retour sur l'écliptique au zodiaque, Cygne vers Ophiuchus à l'intérieur du zodiaque.
La voie lactée se divise elle-même en deux en Deneb à la façon de la pellicule en Y ci-dessus pour l'alternative Cygne-fécondation ou Aigle-non-fécondation. Ce que Saunière évoque à droite et à gauche du bas-relief de la fresque.
"Par ce cygne tu levain cras" : Le signe en croix a la forme du cygne en constellation, et réciproquement. Et il s'agit de levain. Avec Saunière pas de rébus au rebut.

(à suivre...)
1°) Rappelons que Quant au concept de l'expérience imaginaire elle-même sur la dualité :

- Elle est bien adaptée aux Gémeaux, en effet les dioscures (un musée à Rome leur est consacré au Capitole) Castor et Pollux répertoriés comme constellation sont les éléments masculins du mythe de Léda, l'un est mortel puisque issu d'un humain (Castor) et Pollux est immortel, comme demi-dieu issu d'un dieu : Jupiter.

- Elle est bien adaptée à la sexualité éther-haut, où l'osiriaque masculin salique se transmet comme filiation (voir 25 le carré et la case) alors même que la continuité du corps féminin peut-être représentée par une suite de lambdas superposés (fait mine un), renforcé par l'idée d'infini accordée au lemniscate et à voir sur d'autre pages le lemnicate à la lyre représentation aussi du sexe féminin. Une question non tranchée ni tranchable pertinente pour une cohabitation de cette symbiose-synergétique avec l'expérience imaginaire de Schrödinger.

- Elle convient très bien au Cygne et à l'Aigle, issus d'un même concept d'œuf cosmique : Tao-Serpentaire, où après la remontée vers les Gémeaux des eux par la voie lactée et la mise en place du Scorpion c'est le Cygne qui indique la direction de rétrogradation-régression (sous Hercule) vers Ophiuchus et Serpens. Le Serpentaire étant lui-même une sorte de chat de Schrödinger.

- Ecliptique et équateur céleste, zodiaque des signes et zodiaque des constellations (aux mêmes appellations), peuple chrétien et peuple juif.

- Plus et par comme la plupart du tant
- Le M est-il aussi adepte de Schrödinger dans la mesure où il peut-être aussi un 11 ?
- Quant à l'art cadi, caduc ou/et per-si-stant, comme le Tao ?

- (à suivre...)


"La compréhension du passé contribue activement à notre faculté d'appréhender le présent"
(Robert Langdon - DVC)



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* Saunière à Rênes LeXTao et ses déli-cieuses err-ances alchimiques de B on S ens ancestral à l'occiden-tale en toute cohérence...et po...